Nom:
Prénom: Babilouf
Âge: 26
race: Homme démons( sans ailes , mais vole)
1. L’ensemble :
Babilouf, est un assassin, donc se sert des armes blanches, et non du Dessin, qu’il possède. Il est donc rapide, d’où sont surnom, « Faucon Masqué ». Ce surnom veut dire beaucoup de chose, il est habitué à vivre la nuit, depuis tout petit, et à donc une vue perçante, de nuit comme de jour. Il est grand, mais , ne dépasserait jamais un ogre, comme tout humain. Je fais allusion à cette ogre, car, Babilouf est aussi très agile, et à déjà tué un ogre à coup de dagues, de pirouettes, et quelque brins de Dessin, tout sa pour dire que la taille importe peu. Il est fier et se tient donc droit.
2. Le visage :
Sont visage est triangulaire, ses trait sont marquer. Ses cheveux noirs, ébouriffé sur son crâne, sont, la plupart du temps, caché par une capuche. Ses yeux, cachés dans l’obscurité, sont rouge tirant vers le noir. Rouge sang, séché, serait le terme parfait… Dans ses yeux, ont peux voir un passé difficile, une peur qu’il garde pour lui…
Sont nez de taille moyenne coordonne avec le reste de son visage, doux, mais à la fois mystérieux… Rare sont les personnes qui ont vu sont visage, et celle qui s’en rappelle.
Sa bouche laisse apparaître des dents blanches, pas avec des caries et salle comme ont pourrait le pensée.
Souvent, des signes de barbe apparaisse, n’ayant pas le temps de se rasé. Une cicatrice parcoure sont front de gauche à droite. Celle-ci ne ressort pas énormément sur sa peau blanche, mais de prés, elle n’est pas belle à voir.
3.Vêtements :
Il a souvent sur ce dos, une « cape », assez épaisse, car as certain endroit vitaux (Cœur, coups, crâne) du cuir protège des coups. Le reste est de tissu banal. La plupart sont noir, mais il en a une verte, pour les missions et foret, et une blanche, pour les rares en neige.
Des mitaines en cuir noir s’accordent avec sa cape et ses cheveux, ainsi que ses bottes, aussi noir que les mitaines, que l’ombre et la peur….
Des bandelettes blanches cache sont sourire, ses dents, et son infime « barbe ». Pour compléter sa tunique d’assassin, un long pantalon, pile à sa taille, de tissu pour faciliter la marche et les mouvements, lui va à merveille.
3.Caractère:
Babilouf est une personne généralement calme, même dans des conditions que des personnes ne supporteraient pas. Sa principale qualité, est très rare, du moins chez les humains : Il n’a pas peur de la mort.
Si vous la rencontré vous vous en souviendrez longtemps. Si vous êtes de l'empire, il n’y as pas de chance de vous en souvenir : vous ne le verrez qu’une fraction de seconde, du moins si vous êtes marchand. Si vous êtes chevalier ou soldat, vous échangerez quelques paroles, mais vous tuera si il le peut.
Si vous êtes des forces du mal, vous le verrez que très rarement. Tout le temps en mission, il se cache dans le noir…
Sa haine c’est peu à peu dissiper, mais elle est toujours là… Son respect est grand, même pour ses ennemis mort sous ses coups de dague.
4.Histoire:
Un ciseau s’approcha de lui, les doigts s’écartèrent pour écarté les lames. Celle-ci s’approchèrent du cordon, les doigts se refermèrent prés de ce qui allait être le nombril. Un liquide chaud était sur lui. L’enfant commença à pleurer, sa première bouffée d’air lui fut terriblement mal. Ses yeux étaient grand ouverts, et tout en pleurant, il scruta les personnes autour de lui. Une personne porta le bébé jusqu’à une autre, une femme. Elle était allongée, de longs cheveux blonds tombaient sur ses épaules. Elle souriait, malgré l’épreuve de la vie quel venait de passé, mais un instant de bonheur pour la plupart. Un homme à coté d’aux souriait.
On est en pleine été, le soleil est au zénith, le 18 juin, et en ce jour, Babilouf vient de naître, et entre dans le monde des vivants.
Les premières minutes de sa vue lui donnèrent un sourire, mais sans grande émotion.
Ses paupières commencèrent à devenir lourd, Babilouf ne comprenait pas, mais les laissa tombées. Un instant plus tard, sont souffle d’apaisa et il dormit pendant un bon moment.
Plus tard, il devait être 6 heures de l’après midi, ou du soir selon les personnes, il se réveilla en sursaut. Un bruit se vit entendre, un enfant criait de joie. La porte s’ouvrit rapidement, avant de se cogné violament contre le mur. Un enfant entra en courant et s’approcha de lui et de sa mère.
Babilouf le scruta : il devait avoir quatre ans, il était grand pour sont âge, les cheveux noir comme sont père, les yeux vert comme sa mère, et un ventre rond. Ses bras semblaient peux musclé contrairement à ses jambes.Il devait courir beaucoup, après les oiseaux ou autre animaux, ou tout simplement pour se défouler.
Pendant dont enfance, Babilouf se sentait quelque peu rejeté… Sont frère était en étude de combat et prenait une place importante dans la famille, et à se que disait beaucoup de personne bizarre mais au placé, qu’il aurait un avenir brillant dans l’armée. Certain dise même qu’il allait être dans une Légion, l’élite, dont Babilouf ne se souvient jamais. Son frère se nommait Ilixir, et devenait musclé, grand, et assez intelligent.
Sont frère, Babilouf donc, voulait le surpassé. Il s'entraînait en cachette avec des couteaux malgré ses cinq ans. Il fessait des pirouette tout est tapant l’air, mais le résultat n’était guerre convainquant : chutes, et les enchaînements basiques.
Une fois, une s’entailla le bras, criant de douleur, ses parents accoururent. Sa mère en voyant le sol tomba dans les pommes, pendant sa chute elle percuta un arbre. Son père arriva à coté de l’enfant et grâce à ses dont de dessinateur le soigna facilement. Ensuite, il courut vers sa femme, et voyant qu’elle n’avait rien, la mit dans un lit moelleux, une couette blanche et au bois de cèdre.
Quand tout me monde fut rétablit, ont lui dit qu’il n’était qu’un bon à rien, un être misérable qui n’arrivait pas à la cheville de sont frère.
Cette parole sortit de la bouche de sont père comme d’un éclair, et approuvé par sa mère. Les paroles le frappèrent violament, et des larmes coulèrent de ses yeux rouges sang.
Ses parents ne demandèrent pardon jamais, et il ne comprenait pas pourquoi toute cette rage un pour accident, il s’attendait à être gentiment câliné, mais au lieu de sa, presque frappé.
Plus tard, il comprit pourquoi la réaction : ses parents était obsédé par leur fils aîné…
Depuis se jour il haït sa famille, et surtout sont frère, et s'entraînait de plus en plus dans sa chambre avec des couteaux et un petit bâton solide, qui, cassait parfois des vases ou des jouets. Mais Babilouf s’en contrefichait, il voulait devenir fort et surpassé son frère.
Il commença à s'aventurer dans de petit bois, avec des couteaux : une lame était d’un acier solide, sur lequel était gravé des courbes, qui se continuaient sur le manche en bois. Ou bout de ce manche, une petite pierre rouge se trouvait. Une pierre précieuse : un rubis.
Babilouf l’avait prit dans une boite cadenassé qu’il avait ouvert grâce un as couteaux de boucher… Il avait cassé le cadenas (et aussi une partie de la malle) avec force. Il avait récupéré cette lame qui prit aussitôt. Chaque soir il la contemplait avec plaisir avant de la caché. Il avait jeté la petite malle dans un bois….
Il continua à s'engouffrer dans la forêt de pin. Deux de ces pommes tomba juste devant lui. Il leva tranquillement la tête, et, un animal sauta sur lui. Arrivé à la hauteur de sa tête, il donna un violent coup de griffe. Babilouf remarqua que c’était un chien. Il se demandait comment il avait réussit à grimpé, mais peu importe, l’occasion de montré qu’il valait quelque chose se présentait à lui. Malgré se sentiment, il avait un boule avait l’estomac, sûrement l’excitation !
Il prit sa dague d’un coup de main décidé. Le gros chien, ou quelque chose qui y ressemblait, fonça tête baissé surBabilouf. Celui, de sa main disponible, prit un petit couteau. Il fit un bond en arrière, légèrement sur le coté. Au moment où il se réceptionna, il lança le couteau. Le jet paraissait rapide et émettait un son mélodieux en se frottant contre le vent, il était destiner à touché la tête de la bête. Mais celle-ci sauta, et d’un bruit sec, se planta dans la patte avant gauche de cette espèce de chien sauvage. Celui-ci poussa un cri et tomba sur le ventre contre le sol. Un petit nuage de poussière se dissipa, et laissait entrevoir la patte en sang.Babilouf sans aucune hésitation fonça sur sa victime tout en plantant sa dague entre les yeux de la bête. Elle émit un bruit strident puis sa tête se posa contre la sol, elle ne respirait plus, sans vie.
Cela faisait maintenant six ans qu’il devait supporter, six après sa blessure. Il devait avoir 16 ans.
Babilouf ressemblait à un adulte, et était grand d’environ un mètre quatre-vingts. Le jeune homme était assez musclé, mais était agile et précis. Il haïssait toujours autant ses parents et son frère : Les premiers lui criait dessus et commençait à le battre à ses quatorze ans, l’autre, son frère, se sentait supérieur et rabaissait Babilouf.
Tout le monde le détestait, pour le simple fait qu’il était, sois disant arrogant et méchant. Certes il se laissait emporté, mais de la à le détesté… C’est en grande partit que Babilouf est maintenant au service du mal, à force de la laissé de coté, de lui crié dessus, de le battre…
Mais un jour sa puissance commença à apparaître :
Babilouf se plaçait fait au boucher et lui demanda de la viande. Celui-ci lui en donna, et lui dit qu’il lui en donnait juste pour ses parents, si la viande était pour lui, le boucher aurait refusé net. Il ferma les yeux pour ne pas lui sauté dessus, et pensa fort à ce qu’il hache au dessus de lui apparaisse et lui prenne la vie. Il entendit un bruit, ouvrit les yeux et vit le bouche par terre, une hache planté dans son énorme tête, sa langue de vipère dépassant…
Il courut pour s’enfuir, car il savait qu’il allait mourir s’il restait ici… Il vit en fasse de lui deux mineur (les travailleur, dans les mines) avec leur pioche.
Sans un mot ils foncèrent sur lui. Babilouf, par réflexe, prit sa dague, fit un salto avant et se trouve derrière le pionnier. Il donna un coup dans la gorge. Elle se planta difficilement. Il la sortit, difficilement, elle était sûrement entre la trachée et le pharynx. L’autre fit volte face, mais trop lentement, Babilouf lui donne un coup au cœur.
Après sa, une courut prendre un cheval attaché prés de la boucherie, puis quitta les lieux a vive allure.
A vingt-deux ans, il errait et se nourrissait en chassant, ou pillant. Il réussissait des Dessins, maintenant, assez complexe.
Mais sa principale ressource, était qu’il vivait en tant qu’assassin : On lui demandait de tuer et il tuait.
Ses travaux furent remarqués par les Mercenaire du Chaos. Ainsi, pendant une nuit de pleine lune, un Mantaï se planta devant lui. Il fut précis et clair, lui demandant s’il venait devenir mercenaire du chaos.
Il répondu oui, en pensait à sont petit village, ses parents, et son frère.
Depuis ce jour, il est un Mercenaire du Chaos…
Pouvoir: voler avec leur ailes- faire souffrir par la penser(dessein)- lire les pensés-se dématérialiser
Ven 5 Jan - 21:20
